NeoFarm vous présente son ingénieur mécatronique : Romuald Chieux !
Romuald est en charge du développement des outils du robot et des systèmes électriques. Il transforme les besoins des équipes en solutions, soit en adaptant des outils existants, soit en développant des solutions nouvelles.
Il vous parle de son parcours et son poste : découvrez son portrait !
- Peux-tu te présenter, quel est ton parcours ?
Je suis Romuald CHIEUX, j’ai étudié a l’ENSIL-ENSCI pour mon cursus ingénieur avec un double diplôme en Master d’optimisation mathématiques (ACSYON) à l’université de Limoges.
Toujours prêt à aider mon prochain, j’ai également été jeune sapeur pompier et, par la suite sapeur pompier volontaire. N’ayant pas pu continuer chez les pompiers, j’ai décidé que je continuerais à améliorer le monde de demain.
- Pourquoi es-tu devenu ingénieur mécatronique ?
Je suis devenu ingénieur mécatronicien car j’adore la conception et les machines en général. La mécatronique est la combinaison des domaines de la mécanique, de l’électronique et de l’informatique afin de concevoir des systèmes industriels.
Petit, j’adorais regarder les émissions de type : » Comment c’est fait ? « . Et depuis ce moment, j’ai eu l’envie de faire de la mécatronique pour fabriquer les objets de demain.
Depuis mon plus jeune âge, mon grand-père m’a mis un marteau dans une main et une pelle dans l’autre. J’ai toujours aimé fabriquer ou réparer des objets mais également m’occuper du potager. Est-ce le coup du destin ou un coup de chance, mais me voici à NeoFarm où je peux concilier les deux !
- Que fais-tu chez NeoFarm?
Mon travail consiste à transformer les besoins des différentes équipes en solutions soit en adaptant des outils existants, soit en développant des solutions nouvelles. Cela s’applique pour le robot mais aussi pour toutes les machines chez NeoFarm.
Pour illustrer mon quotidien : si des maraîchers souhaitent une nouvelle machine pour semer des graines ou un certains type de graine, alors ma mission consistera à analyser ce qui existe déjà sur le marché, d’adapter des outils déjà existants ou de concevoir l’outil souhaité. Par la suite, il y a plusieurs étapes : premièrement je prépare la fabrication du prototype, puis je procède à l’assemblage, et enfin je passe à la phase du test de l’outil.
S’il fonctionne, je vais ensuite transmettre le dossier à l’équipe industrielle pour en faire un produit fini en les accompagnant dans cette démarche. Une fois le produit fini, je vais accompagner l’équipe de maintenance dans leurs interventions.
Ainsi, je participe à l’ensemble du cycle de vie des machines que je conçois et j’analyse également toutes les pannes ou dommages pour optimiser les futures versions du produit.
- Qu’apprécies-tu dans ton quotidien chez NeoFarm?
J’adore mon travail, pouvoir imaginer de nouvelles machines et voir l’évolution des outils au fil du temps. Pouvoir travailler en bureau et sur le terrain. Transmettre ma passion aux autres. Apprendre des autres et pas seulement de mes pairs.
Chaque jour est différent, on doit s’adapter à toutes les situations, c’est très stimulant ! Cela m’arrive que parfois je me retrouve bloqué dans mes chantiers, mais il y a toujours quelqu’un prêt à m’aider ou m’apporter une vision différente.
- Quel conseil voudrais tu donner à celles et ceux qui souhaitent se lancer?
En fait je n’en ai pas un mais plusieurs : Foncez ! Retroussez vos manches et n’hésitez pas à vous salir les mains. On ne comprend véritablement le fonctionnement d’une machine que si on l’utilise, si on la démonte et remonte. Il ne s’agit pas que de voir ou d’entendre, il faut la ressentir. Il m’arrive parfois même de les considérer comme des personnes.
N’ayez pas peur de ne pas réussir, le seul échec c’est de ne pas essayer. On en apprend tellement plus avec les choses qui ne fonctionnent pas que avec celles qui fonctionnent du premier coup. Chaque erreur est une leçon, et au fur et à mesure, vous approcherez du but.
- Où te vois-tu dans 5 ans?
Toujours à NeoFarm ! Mon but est de devenir expert dans la conception des systèmes mécaniques et électriques. Je souhaite aussi accompagne mes pairs et les jeunes ingénieurs comme j’ai pu l’être auparavant.
J’aspire à contribuer du mieux possible à l’avenir de notre société, dans un cadre plus respectueux de l’environnement et moins pénible pour les femmes et les hommes qui travaillent si dur pour nous permettre de nous nourrir chaque jour.
